pensez à référencer vos personnages dans le repertori.
Cela vaut également pour les scénarios et préliens que vous créez, ne les oubliez pas!
merci de privilégier les personnages studiosi !
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| — you, again (achille) | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: — you, again (achille) Mer 18 Avr - 15:28 | |
| @Achille Penrose
Il est rentré à l’aube d’une nuit bien arrosée, laissant derrière lui une jeune créature aux airs angéliques dont il ne se souvient plus du nom. Agata, peut-être. Ou alors était-ce Elsa ? C’est le néant. Et il n’a pas cherché à s’en souvenir, déposant un baiser sur son front avant de prendre la poudre d’escampette. Il ne la reverra sans doute jamais. Mais il n’oubliera pas son 90D qu’il a tant chéri et adoré, le temps d’une seule rencontre trop vite envolée. Et il en rêve peut-être, affalé sur le canapé, à dormir au beau milieu de la journée alors que Malcesine et sa sœur sont éveillées depuis longtemps. Il soupir dans son sommeil alors qu’il se tord dans tous les sens, accablé par les premières chaleurs du printemps. Perdu entre deux eaux, confondant ses songes et la réalité, il entend frapper au loin, comme un écho qui ne cesse de retentir. Il grogne, désireux de paix, mais ça tambourine davantage, au dehors, comme dans son crâne. – Putain ! Qu’il balance violemment en se levant d’un bond du canapé, les cheveux et la tête en vrac. – On peut pas être tranquille ici, il le bougonne comme un supplice, faisant notamment référence à son neveu qui le laisse rarement se reposer comme il le voudrait. Il frotte ses yeux avec ardeur, essayant tant bien que mal de les garder ouverts, alors qu’il s’élance vers la porte, le visage déformé par cette colère naissante qui pulse dans ses veines. Vêtu d’un simple caleçon, il saisit la poignée et ouvre la porte brusquement, de quoi ponctuer son agacement. – Quoi ?! C’est direct et spontané et soudain, il y a comme un cocktail Molotov d’adrénaline et de testostérone qui explose en lui, quand il se rend compte de qui se trouve sur son pallier. Achille. La simple vue de cet homme lui donne des envies de meurtre qu’il étouffe comme il peut. Bastardo, il le pense si fort que cela semble lui échapper, mais ses lèvres demeurent scellées face à l’ennemi. – Tu veux quoi, toi ? Elle est pas là Silvia, le ton est sec et expéditif. Il ne veut pas se confondre en politesses inutiles, certainement pas avec lui. – Pis t’as pas une famille à toi ? D’autres gens que tu peux emmerder dès le matin ? Il soupire, agacé tandis que ses yeux se concentrent sur sa montre. Il est quatorze heures, beaucoup trop tôt pour lui à son goût, même s’il doit se rendre au travail dans moins d’une heure et demie. – Bon, si ça te dérange pas, je retourne me coucher, qu’il balance entre ses dents, l’air blasé, alors que ses mots retentissent d’une ironie assumée. Il s’en fout complètement d’Achille et de ce qu’il veut. Il y a que son canapé et son bon vouloir qui l’intéressent. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: — you, again (achille) Sam 21 Avr - 18:04 | |
| le bras qui martèle la porte de coups, stress du retard. tu devais passer il y a une demie-heure pour passer chercher leone et s'en occuper alors que silvia travaille. tu t'en veux un peu, et espère que le gamin sera pas mort. parce que s'il est seul avec ambrosi, autant dire que le gamin est seul. il sait se débrouiller un peu tout seul, mais comme un gosse de presque quatre ans. et tu étouffes un juron quand c'est la voix d'ambrosi que tu entends. tu méprises le garçon, tu ne supportes pas ses tendances à vivre aux dépends des autres. c'est quelque chose que tu détestes, que tu abhorres. parce que si t'as eu une vie difficile à certains égards, tu n'es pas sûr qu'il puisse en dire autant. il préfère juste dormir jusqu'à quatorze heures, et ne pas travailler. parce qu'en plus de ça, il est serveur dans le caffe familial. tu demandes parfois comment le recrutement à été fait, parce qu'à part venus le caffe semble être rempli de boulets. entre ambrosi et alessia au secours quoi. tu veux quoi, toi ? toujours aussi aimable. content de te voir aussi ambrosi. pis t'as pas une famille à toi? d'autres gens que tu peux emmerder dès le matin? et tu ne peux retenir ton rire, pas cette fois. venant de lui, c'est assez hypocrite. j'trouve ça plutôt comique venant de ta part. mais figure toi que je viens m'occuper de la tienne. enfin de ton neveu, puisque ta soeur ne semble pas te faire assez confiance pour garder son fils. sourire et paroles tranchantes, tu méprises ambrosi et il le sait, à quoi bon se cacher ? et si silvia préfère te confier son fils plutôt qu'à son oncle, c'est bien qu'il y a un problème pas vrai ? bon, si ça te dérange pas, je retourne me coucher. gueule blasée, tu lèves un sourcil. "t'as pas un travail ? si j'me trompe pas tu travailles dans pas longtemps." petit sourire mielleux au coin des lèvres. tu ne le connais pas par coeur l'emploi du temps des employés du caffe, c'est une certitude. mais quand tu y es passé ce matin avant d'aller travailler, tu as bien vu sur le planning son nom et pas celui d'un autre.
Dernière édition par Achille Penrose le Sam 28 Avr - 11:45, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: — you, again (achille) Mar 24 Avr - 20:24 | |
| Il peine à garder les yeux ouverts, Ambrosi. Et l’effort est d’autant plus insupportable que le type qui se trouve en face de lui. Il a le poing qui le démange à mesure qu’Achille prononce des mots qui entrent par une oreille et ressortent par l’autre. Il en a rien à foutre, le gamin plus si jeune que ça, de ce que l’ex-taulard a à lui dire. Mais son seul visage suffit à animer des torrents de colère en lui. C’est de la haine à l’état brut et une tête qui ne lui revient pas. C’est comme ça, c’est physique. Et tout l’amour que Silvia lui porte pèse autant dans la balance que l’aversion qu’Ambrosi ressent à son égard. Autant dire, beaucoup. Malheureusement. Autrement, il ne serait pas là, sur son pallier, à bousiller les quelques minutes de sommeil qu’il lui reste. – Sois pas mauvais parce que t’as jamais pu t’faire ma sœur et que la seule consolation que t’aies c’est de t’occuper du gosse, qu’il crache en s’appuyant contre la porte à moitié ouverte. Une porte qui menace de claquer à tout instant. Ambrosi, il aime particulièrement sous-entendre ce genre de choses, parce qu’il sait qu’il ne se trame rien entre eux, mais que les gens doivent sans cesse leur répéter le contraire. Surtout parce que le Penrose s’occupe davantage de Leone que son propre oncle. Mais c’est pas de sa faute à Ambrosi s’il n’est pas doué avec les gamins. Le gamin. La pensée le frappe comme un méchant coup de tonnerre. Il savait même pas qu’il était là. Il ne sait même pas où il est. Sûrement dans la chambre, qu’il se dit, le visage marqué d’une neutralité banale pour ne pas alerter l’autre abruti. Il ne lui fera pas ce plaisir, oh non. – Qu’est-ce que ça peut bien te foutre ? Tu te la joues frère de la patronne impliqué toi maintenant ? Tu veux savoir quand je me la touche aussi ? Le ton monte et c’est certain – il ne retournera pas se coucher après cette montée d’adrénaline soudaine. – Tu veux peut-être le faire à ma place ? Il s’attrape l’entrejambe pour bien marquer ses propos, le visage teinté d’un agacement violent. |
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